Révélation
L’intelligence entre le nombre de lettres et le nombre de mots du texte de la Bible Genèse 1 en hébreu révèle la formule mathématique du principe fondamental de la création, une formule unique simple et surprenante.
La formule est :
Y2 = 4 Y – 1/2
Elle est déduite de la suite numérique des rapports principaux comptés entre les nombres des mots et les nombres de lettres qui composent ces mots.
Cette suite est : 6 — 23 — 89 — 345
Cette formule est inattendue et c’est une chance de la percevoir car il n’y a pas de logique équivalente dans aucune culture et c’est surprenant de constater une telle intelligence pour un texte qui a 2500 – 3000 ans voir plus. C’est une première.
De cette formule générale on peut déduire par calcul le tableau de nombres dont le début est décrit dans la figure 9.
Une hyper symétrie
Nous avons vu dans Divinicode que la séquence des mots qui décrit la création en 6 jours suivi du jour 7 possède différentes structures numériques qui s’emboîtent les unes dans les autres.
La structure générale basée sur le comptage des mots a une hyper symétrie qui a été présentée sur les figures précédentes. Cette hyper symétrie repose sur 5 fois 69 mots soit 345 mots avec une séquence complémentaire de 89 mots. L’ensemble du texte pour les 6 jours a donc 345 + 89 = 434 mots.
En poursuivant l’analyse par le comptage du nombre de lettres correspondant aux 89 mots on obtient selon la séquence concernée la somme totale de 345 lettres. On constate facilement ce résultat dans le tableau suivant : figure 6
On constate une égalité surprenante puisque le nombre de 345 lettres correspond au nombre de mots soit 345 complémentaires aux 89 mots concernés.
Ces 89 mots forment un récit unique de la création des animaux aériens, aquatiques et terrestres mais qui est réalisé sur 2 jours, le jour 5 en totalité et le début du jour 6. Il faut préciser que le texte emploi 2 mots différents « créer » et « faire » qui pourraient indiquer un séquençage et une rotation.
On a la logique suivante pour les 89 mots ayant 345 lettres, ces 89 mots sont au milieu de la séquences de 345 autres mots (5 x 69) qui complètent la totalité du texte.
Le début du récit
Si on poursuit l’analyse du comptage mots-lettres pour le début du récit de la création on obtient la séquence numérique suivante correspondant aux 2 premiers jours : figure 8
L’analyse des correspondances entre les nombres de mots et les nombres de lettres associées à ces mots fait apparaître des répétitions. La première répétition de 4 fois 6 mots qui se succèdent retient l’attention sans réfléchir de manière évidente et intrigante.
Le premier jour
L’analyse plus précise et complète du premier jour fait apparaître un rapport unique nombre de lettres / nombre de mots qui est 23/6 selon le schéma suivant : figure 7
On a donc le rapport unique 23/6 4 fois et 5 fois mais nous allons voir plus loin une surprenante propriété liée à la formule mathématique générale que révèle le texte, c’est le principe de quintessence.
L’enchaînement des jours 1 et 2
Nous continuons la même analyse logique pour l’enchaînement des jours 1 et 2
On a le schéma suivant : figure 8
La différence -1 permet d’ajuster l’enchaînement des jours 1 et 2 qui correspond au rapport 74/19 et le double 148/38. Il y a d’autres ajustements possible dont un avec le complément de 345 lié à 89.
La somme 345 + 355 = 700
La séquence 74/19 suivi de 148/38 ou 2 x 37/19, 2 x 2 x 37/2 x 19 initie la séparation de la lumière et des ténèbres dont la séquence est marquée pour le comptage du nombres de lettres par des multiples de 37 et ce sur une longue durée jusqu’à la fin du jour 5 qui se termine sur la somme totale de 999.
Selon les différentes sommations de cette séquence des multiples de 37 il apparaît les sommes partielles 222, 444, 555, 777 et aussi 7 x 37 = 259 pour le jour 3 et 2 x 7 x 37 = 14 x 37 = 518 pour les jours 4 et 5.
Cette présentation indique seulement les premières propriétés numériques liées au séquençage primordial, les autres propriétés étonnantes seront présentées plus tard.
Le séquençage primordial de l’ensemble de la structure générale complète fait ressortir des rapports nombres de lettres par rapport aux nombres de mots que l’on peut écrire NL/NM suivants :
23/6, 89/23, 345/89 et aussi certains de leurs multiples comme 46/12 c’est 2 fois 23/6 et 92/24 c’est 4 fois 23/6.
La suite numérique fondamentale qui génère la création est donc :
6 — 23 — 89 — 345 qui donne les rapports cités ci-dessus 23/6, 89/23, 345/89
On a aussi :
les multiples de 23/6 qui sont 46/12, 92/24, 184/48
les multiples de 89/23 qui sont 356/92, 356 – 1 = 355
les multiples de 345/89 qui sont 1380/356 (nous verrons ce dernier rapport plus tard).
La formule générale mathématique de la suite 6 — 23 — 89 — 345 est :
Y2 = 4 Y – 1/2
La séquence théorique donnée par la formule est 6 — 23 — 89 — 344,5
Le texte de la genèse utilise 345 pour la valeur 344,5 car il ne peut y avoir de demi mot ou de demi lettre et par cohérence au lieu de 344 car le fondement de la création est lié à 15 et 345 = 15 x 23 = 5 x 69.
On peut déduire par calcul le tableau numérique généralisé qui suit. Il a la surprenante propriété de révéler les 2 autres rapports du premier jour en complément du rapport 23/6.
Ces deux rapports sont 66/17 et 49/13.
Le tableau généralisé
Le tableau généralisé est : figure 9
Le rapport théorique 344,5/89 donné par la formule est ajusté dans le texte par le rapport pratique 345/89
Un principe de quintessence
Le calcul des 3 nombres successifs d’une même ligne désignés par A, B, C sont reliés par la formule générale C = 4 B – (1/2) A
Cette méthode est générale pour résoudre de manière pratique et non théorique toute les équations algébriques de puissance supérieure.
Le problème principal est de choisir les deux valeurs numériques de départ, en ce qui nous concerne ces deux valeurs sont 0 et 2. On peut comprendre ainsi pourquoi la création commence par 2.
Le rapport 66/17 est la somme des 2 premières séquences de la création.
Le rapport 49/13 est la dernière séquence du premier jour.
On constate le principe de quintessence ou pentacoordination puisque
17 + 13 = 30 = 5 x 6 et 66 + 49 = 115 = 5 x 23
On constate que les 3 premiers rapports du premier jour 66/17, 23/6, 49/13 sont liés entre eux par la formule générale et le tableau résultant généralisé vus ci-dessus. C’est une constatation extraordinaire car il est difficile d’imaginer que la formule générale mathématique découverte ait des propriétés plus importantes que l’on pouvait imaginer au départ.
Par ailleurs elle révèle un principe de quintessence inattendu que l’on a vu plus haut ainsi que d’autres propriétés entre les nombres du tableau.
Chaque ligne du tableau correspond à la formule générale citée Y2 = 4 Y – 1/2 et chaque nombre d’une ligne est aussi la différence des deux nombres de la ligne supérieure,
exemple : 17 = 23 – 6 ; 66 = 89 – 23 ; etc.
et de la même façon : 13 = 17 – 4 ; 49 = 66 – 17 ; etc.
Le tableau numérique a d’autres propriétés à explorer.
On a également la formule Y = 2 B + (1/2) A entre 3 lignes.
Conclusion
Nous avons vu que le texte à des propriétés de logiques extraordinaires :
Le texte est disposé sur un séquençage qui présente une hyper symétrie basée sur 5 x 69 = 15 x 23
L’ensemble présente une logique encore plus précise basée sur le nombre 23 de manière répétée.
L’ensemble présente une séquence majeure 06, 23, 89, 345 que l’on retrouve de plusieurs façons et qui correspond à la formule :
Y2 = 4 Y – 1/2
On peut explorer d’autres logiques numériques complémentaires extraordinaires liées à 7, 37, 48 et aussi beaucoup d’autres.
Cette étude présente les premières logiques générales mais des explorations plus approfondies révèlent des propriétés cachées étonnantes.
L’ensemble révèle la structure de la création. C’est un des premiers secrets majeurs de notre civilisation qui a 2500 – 3000 ans voir plus.
C’est une science inconnue qui dépasse l’intelligence humaine.
On ne peut découvrir les propriétés petit à petit seulement avec une longue pratique et de longues explorations.
On peut faire un rapprochement avec le fameux livre des changements chinois, le Yi-Jing dont les mystères restent à élucider. D’autres cultures anciennes présentent de nombreux mystères qui restent à être déchiffrés également.