Éditorial

La Bible, une histoire, un texte mystérieux.

Révélation du plus grand secret de notre civilisation datant de plus de 2500 ans.

Introduction

La Bible est l’ouvrage le plus diffusé au monde. Elle est composée de l’Ancien et du Nouveau Testament. L’Ancien Testament original est en hébreu, il a été traduit en grec (version appelée Septante) et plus tard en latin (version appelée Vulgate). Il y a aussi une version en araméen appelée Targoum. L’Ancien Testament est composé de nombreux textes différents qui ont fait l’objet d’une compilation et d’une mise en forme qui constituent un ensemble appelé par les hébreux TaNaK mot constitué par les 3 initiales T, N, et K ; T pour Thora-doctrine ou Pentateuque, N pour Nabiim-prophètes et K pour Ketouvim-écrits.

Texte massorétique

La Bible hébraïque a fait l’objet de contrôles minutieux pendant des siècles pour l’orthographe et les accentuations car les voyelles n’existent pas. Ces contrôles ont été fait par des érudits spécialisés appelés massorètes. C’est pourquoi la Bible en hébreu est dite massorétique. Toutes les Bibles sont identiques mot pour mot, lettre pour lettre. Le plus vieux texte complet de la Bible hébraïque a mille ans, c’est le codex Leningrad. Il y a d’autres codex plus ou moins bien conservés. La découverte des parchemins de la Mer Morte a été une révolution. Les origines du texte ont été perdues et la tradition écrite et orale a gardé des interprétations que seul le texte ne peut fournir. Beaucoup de mystères restent inexpliqués malgré les avancées en archéologie et en linguistique.

Analyse numérique

Pour l’analyse la tradition dispose aussi de données sur les nombres mais les résultats sont incertains. La science actuelle concernant l’analyse des textes bibliques ne connaît pas l’outil majeur puissant scientifique correspondant à la propriété des nombres et l’arithmétique spécifique qui les relie. C’est pourquoi un mystère fondamental contenu dans le texte n’a pas fait l’objet d’explorations systématiques. Ce mystère est à l’intérieur même de la technique d’écriture du texte ou du moins certains chapitres du texte. Cette technique d’écriture permet de révéler des sens caché que le récit ne décrit pas. Mais le récit peut quand même le révéler par une méthode de lecture différente appropriée. C’est ce que nous verrons plus loin.

Rédaction en versets

Il y a une première énigme du texte de la Bible dans son découpage en versets. Mais ce découpage en versets n’est pas liée à la Bible hébraïque originale, il ne date que du début du 16ème siècle suite à la création de l’imprimerie. Comment ont été composés les versets ? C’est une énigme ! Ce découpage permet de dévoiler certaines structures numériques répétitives qui sont intéressantes et mériteraient d’être étudiées. Ces structures numériques correspondent au comptage du nombre de mots par verset toujours pour le texte hébraïque.

Analyse logique

Pour aller plus loin dans la recherche d’une logique cachée dans l’écriture du texte original il a donc fallu penser à une logique différente mais inspirée du découpage en verset qui présente des séquences numériques répétitives basées sur le comptage des mots. Il y a aussi un comptage spécifique qui fait penser à une logique d’écriture. C’est que en hébreu le 3ème jour et le 4ème jour du texte de la création Genèse chapitre 1 sont écrits tous les deux avec 69 mots. Cette coïncidence est peu probable et le nombre 69 est d’un grand intérêt par rapport à l’arithmétique cyclique. Pour essayer de trouver une clé de décryptage général il a fallu passer au crible de nombreux passages de la Bible. Il aura fallu une étincelle pour penser que la première clé de décryptage c’était la première phrase de la Bible concernant la création Genèse 1 qui dit : « Au commencement Dieu créa les cieux et la terre ». Bien sûr il faut étudier le texte hébreu mais c’est relativement facile. Cette phrase lue de manière basique au mot à mot éclaire une méthode possible de la technique d’écriture. La lecture basique donne l’idée que c’est le mot Dieu qui module le séquençage des mots dans le récit de la création des cieux et de la terre. Selon cette lecture la création serait aussi un séquençage.

Révélation

La première tentative de décryptage du texte a donc été de compter les mots du texte en hébreu pour arriver au mot Dieu ce mot étant inclus dans le comptage. Ainsi le premier mot Dieu est le 3ème du récit le 2ème mot Dieu est ensuite en 14ème position et le 3ème mot Dieu vient ensuite en 6ème position. La séquence numérique commence donc par / 3 /14 / 6 / …, on continue le comptage jusqu’à la fin du récit pour obtenir la séquence totale : / 3 / 14 / 6 / 6 / 6 / 6 / 13 / 11 / 17 / 10 / 13 / 8 / 4 / 34 / 10 / 25 / 19 / 15 / 10 / 15 / 19 / 5 / 18 / 14 / 14 / 4 / 19 / 5 / 9 / 3 / 18 / 48 / 13 / . Ce comptage du récit a permis de révéler un séquençage numérique extraordinaire. Le séquençage du mot Dieu dans le récit dévoile une hypersymétrie basée sur 23 et 69 (3 x 23). L’analyse technique spécifique est expliquée sur ce site internet genesor.com à la page Divinicode. Cette hypersymétrie associe 5 fois 69 (15 x 23) et 89.

L’œuf ou la poule

Cette association donne la clé d’un mystère et d’une science inconnue qui est celle de la création et de la reproduction. La Bible ne pose pas la question de qui ou quoi vient en premier de l’œuf et de la poule mais elle décrit avec insistance la séquence de reproduction de l’arbre fruit qui fait fruit contenant sa semence pour son espèce (sous entendu pour reproduire son espèce).

Développement

L’analyse dévoile donc un mystère fondamental. La poursuite de l’analyse nous montre d’autres merveilles. L’exploration systématique du texte est de plus en plus déconcertante et étonnante car tout par la suite est d’une précision qui défie la pensée humaine. Il y a plusieurs logiques dans le séquençage des mots et aussi des lettres et de leurs interactions. Il est difficile d’imaginer une interaction entre le comptage des mots et le comptage des lettres. C’est pourtant le cas. On se trouve face à une révélation non pas théorique et philosophique mais une révélation bien réelle, mesurable et incontestable.

Arithmétique cyclique

L’ analyse du séquençage numérique des mots et des lettres démontre que ce séquençage est en accord avec le sens précis des nombres selon les propriétés de l’arithmétique cyclique dont on retrouve les bases dans l’arithmétique traditionnelles de l’Inde ancienne. Cette arithmétique cyclique est un objet mathématique extraordinaire de la plus haute importance et à la portée de tous. C’est la plus grande intelligence primordiale au monde. Par son utilisation même un enfant pourrait faire des découvertes majeures. Il n’y a pas besoin d’être matheux, il faut explorer les propriétés et l’intelligence de cette arithmétique. C’est avant tout une question de pratique longue et assidue comme on apprend à dessiner, à jouer de la musique, à jouer aux échecs, à faire du sport, à exercer un métier, etc… On peut explorer les propriétés des nombres et de l’arithmétique cyclique comme on explore une carte de géographie, une région, un pays … Il est important de dire que l’intelligence de cette arithmétique a pour commencement la création de la première base de comptage qui est la base 10 que nous utilisons et qui est confirmée par le récit de la Bible selon le texte de la création Genèse 1. Nous verrons cela par la suite…

à suivre…