Divinicode

Révélation d’un des plus grands secrets de notre civilisation vieux de plus de 2500 ans, le premier livre de la Bible appelé Genèse relate au chapitre 1 le récit de la création en 6 jours.
Le 7ème jour est réservé à la bénédiction et à la sanctification.
Suite à de longs travaux de recherches et d’études, la technique d’écriture du texte original en hébreu de la création en 6 jours a dévoilé des structures inconnues de haute intelligence et de haute technicité.

La méthode d’analyse

La méthode d’analyse est liée au séquençage et au comptage des mots et des lettres selon une méthode particulière qui est à la base de la découverte.
Le texte est bien divisé en 6 jours avec 6 paragraphes correspondant à chacun des 6 jours.
Cependant le code secret révélé par le texte ne correspond pas au découpage en 6 jours mais correspond à un comptage spécifique basé sur le séquençage du mot “Dieu”.

Au commencement

Ainsi dans le texte hébreu le mot “Dieu” est le 3ème mot au commencement du texte et le nombre correspondant de lettres pour ces 3 mots est de 14.
Avec les lettres hébraïques translittérées on a la phrase du commencement, figure 1 :

Une énigme

L’ensemble du texte concernant les 6 jours contient 32 fois le mot “Dieu”, “ALEiM” en hébreu translittéré prononcé èlo-ime, soit pour 32 fois le mot “Dieu” 434 mots 1671 lettres.
En poursuivant le comptage, le mot “Dieu” “ALEiM” apparaît en 2ème position au nombre 14 et le nombre de lettres est 52. Le 3ème mot “Dieu” vient ensuite avec 6 mots et 24 lettres.
Il apparaît alors une énigme : les mots “Dieu” en 3ème, 4ème, 5ème et 6ème position sont associés à 6 mots. Il y a 4 fois 6 mots de suite et le nombre 6 n’apparait plus ensuite.
Il aura fallu 17 ans d’études pour résoudre cette énigme.

La Séquence Brasit

Le comptage total des mots et des lettres pour les 6 jours forme 33 séquences.
Le mot “Dieu” termine les 32 premières séquences.
Seule la dernière séquence 13 mots 41 lettres ne contient pas le mot le mot “Dieu”.
On obtient la suite numérique suivante dite “Séquence Brasit” (prononcé béréchite): figure 2 de la Séquence Brasit.

La ligne du haut correspond à l’ordre des séquences.
La ligne du milieu correspond au comptage des mots.
La ligne du bas correspond au comptage des lettres.

Par exemple:

• 1ère séquence pour 3 mots, le nombre correspondant de lettres est 14.
• 2ème séquence pour 14 mots, le nombre correspondant de lettres est 52.
• 3ème séquence pour 6 mots, le nombre correspondant de lettres est 24.
• 4ème séquence pour 6 mots, le nombre correspondant de lettres est 22.

La Séquence Brasit continue et par exemple :

• 17ème séquence pour 19 mots, le nombre correspondant de lettres est 82.
• 23ème séquence pour 18 mots, le nombre correspondant de lettres est 71.

La dernière séquence ne se termine pas par le mot “Dieu”.
La séquence se termine par jour le 6ème.

• 33ème séquence pour 13 mots le nombre correspondant de lettres est 41.

La première analyse

La première analyse du séquençage lié aux mots seulement est donné par la figure 3 de la Séquence Brasit.

Pour faciliter la compréhension générale, chaque séquence numérique a un symbole graphique qui représente l’action correspondante faite par “Dieu”.
Les 10 actions réalisées dans l’ordre d’apparition dans la séquence générale sont les suivantes:

• créer, • souffler, • dire, • voir, • séparer, • appeler, • faire, • placer, • bénir, et • dans l’image.

Le 11ème symbole est une action qui ne se termine pas par “Dieu”.
Le 7ème jour qui suit la création est la bénédiction, la sanctification et le repos. Sa séquence numérique est 7 mots 31 lettres, 14 mots 62 lettres, 13 mots 46 lettres , 1 mot 5 lettres.

On constate en premier que la séquence présente 4 fois 6 mots de suite et que par la suite le nombre de 6 mots n’apparaît plus.
En faisant des symétries et des complémentarités, on obtient par additions simples une séquence simplifiée avec une répétition du nombre 23 et de ses multiples 46, 69 avec en complément une séquence unique de 89 mots.
La séquence simplifiée commence par une somme de 23 et se termine par une somme de 69 + 46.
Le lecteur peut le voir très facilement en se reportant à la figure 3 de la Séquence Brasit.

Le début de 23 et la fin 69 + 46 donnent l’idée de réaliser un bouclage cyclique de la séquence avec la fin qui rejoint le début ce qui donne 69 + 46 + 23 = 69 + 69.

Le bouclage cyclique

La disposition de la séquence sur un cercle de 32 secteurs révèle une hyper symétrie parfaite, basée sur 5 fois 69 et 89 correspondant à la figure 4 de la Séquence Brasit.

Si on étudie la figure 4 de la Séquence Brasit avec plus d’attention on trouve une précision déconcertante pour le séquençage des mots.

Le séquençage commence par 23
En effet la somme des trois premiers nombres fait 3 + 14 + 6 = 23
Pour la séquence qui suit on a 3 fois 23
La séquence est 6 / 6 / 6 / 13 / 11 / 17 / 10 la somme fait 69 mais la précision est plus grande car on a 10 + 13 = 23 , 17 + 6 = 23 et 11 + 6 + 6 = 23

Pour la suite du séquençage on a une symétrie triple avec 69 et 3 x 23 = 69
La suite est : 13 / 8 / 4 / 34 / 10 / 25 / 19 / 15 / 10
On a une symétrie parfaite avec 13 + 10 = 23, 8 + 15 = 23, 4 + 19 = 23 et 34 + 10 + 25 = 69

Le découpage de cette séquence montre aussi une symétrie double avec 69 soit 13 + 8 + 4 + 34 + 10 = 69 et 25 + 19 + 15 + 10 = 69

L’ensemble de la séquence du cycle général est cohérent avec la double propriété du 7.

La suite du séquençage 25 / 19 / 15 / 10 / 15 / 19 / … présente des logiques de retournement par rapport à la logique du séquençage du commencement. Voir aussi la figure 3 de la Séquence Brasit.

Les propriétés de symétrie révélées ci-dessus correspondent à une première logique de création basée sur le fameux nombre d’or que l’on retrouve dans la nature et une suite numérique associée inconnue, découverte par ces travaux.

On peut anticiper par le fait que 89 est dans le fondement de la création et de la recréation. Ce nombre 89 coïncide avec au minimum 4 propriétés mathématiques fondamentales dont certaines inconnues et une liée au nombre d’or. L’énigme de 89 a un lien avec l’énigme de 4 fois 6 mots en début de la Séquence Brasit vue auparavant.

Le mot « Dieu » détermine les premières marques pour les bases de la création et justifie le titre de cette étude Divinicode .

Figure complète

La figure 4 précédente est basée sur le comptage des mots du texte Genèse chapitre 1 en hébreu.
La figure 5 qui suit reprend la logique de la figure 4 et des données numériques de la figure 2 et de la figure 3.

La figure 5 représente la figure complète des données numériques de l’analyse du texte selon le séquençage du mot « Dieu ».
Il n’y a rien à rajouter ni à retrancher. C’est une donnée de comptage simple et non contestable, ce n’est pas une création intellectuelle hypothétique.
Par rapport à la figure 4 qui représente le nombre de mots, il a été rajouté le nombre de lettres correspondant aux mots et la séquence des symboles qui définissent l’action faite par Dieu ; par exemple : Dieu a dit, Dieu a vu, Dieu a fait, etc.

La figure 5 complète le découpage du texte avec le séquençage des jours 1, 2, 3, 4, 5, 6. Après le jour 6 la création est accomplie, terminée et le jour 7 est consacré à la bénédiction et à la sanctification. C’est pourquoi le jour 7 n’est pas dans la séquence de création, il sera analysé plus tard.
Le séquençage des jours présenté sur la figure 5 a un petit décalage par rapport au texte car le comptage s’arrête au mot « Dieu » inclus. Toutefois le décalage est constant pour chacun des jours ; il est de 2 mots de 5 lettres correspondant à l’expression « Dieu a dit » en hébreu translittéré « ViAMR ALEiM » traduit mot à mot « et dira Dieu ». Selon ce comptage le jour 1 a 2 mots et 10 lettres en plus et le jour 6 a 2 mots et 10 lettres en moins. Pour les jours 2, 3, 4, 5, le décalage ne modifie pas le comptage.
La figure 5 donne ainsi le séquençage complet définitif du texte qui permet de rechercher les différents décryptages de la création. Cette figure 5 va nous permettre de découvrir les nombreuses propriétés de séquençage aussi extraordinaires qu’inconnues et de comprendre les lois mathématiques qui en sont la genèse.

On peut voir avant tout que le séquençage des jours fait apparaître une division du cercle par 1/2, 1/4, 1/8.

L’étude fondamentale des séquences de nombres est extraordinaire et étonnante.
La prochaine étape de déchiffrage va nous révéler une partie de cette clé fondamentale liée aux logiques basées sur les unités, 23, 48, 7, 11, et 37.